par Didier Testot.
Retrouvez ici mon article publié sur Linkedin le 1er novembre et concernant les #ETI.
Depuis plusieurs années, les initiatives concernant les #ETI se sont multipliées, sans que cela change véritablement la donne pour elles, surtout dans l’espace médiatique et politique. Si les visites des ministres qui ont « besoin » d’aller sur le terrain, celles du Président également, se font souvent vers les #ETI, sans que leurs conseillers n’aient grand chose à leur mettre sous la dent, à moins d’être abonné au flux labourseetlavie.com, ce qui serait une révolution, avec un grand R, de plus en plus d’investisseurs et de dirigeants eux ont compris l’intérêt de ces entreprises, avec leurs qualités : la croissance, les développements, l’international, l’emploi… Celles que je connais, pour plusieurs d’entre-elles depuis plus de 20 ans, ou depuis leur introduction en Bourse, m’étonnent à chaque rencontre. Oui elles sont là, je devrais dire toujours là, malgré les crises financières, malgré les nouvelles règlementations ou taxes, elles se développent. Bien sûr ce n’est pas facile, mais ce qu’elles font est admirable, comme le disait un dirigeant, quand on a réussi en France, on peut conquérir le monde. Si la mode des #ETI risque de se tarir, c’est aussi parce que le PEA PME a été loin de remplir ses objectifs, et de l’autre côté, parler d’innovation avec les start-ups, comme dans la Silicon Valley semble prendre de l’ampleur. Ce n’est pas mal en soi, et pouvoir de dire que nous avons ici les pépites de demain, j’oserais dire les #ETI de demain, pourquoi pas. Encore faudrait qu’il que leurs ambitions soient mondiales, ce n’est pas toujours le cas, et surtout, qu’après l’amorçage par des fonds français, leurs dirigeants ne soient pas obligé d’aller chercher ailleurs leurs ressources. Cela serait dommageable pour notre économie, que les start-ups, et donc le risque, soit pris par des investisseurs français, et qu’une fois que cela commence à prendre forme, d’autres capitaux souvent américains, fassent une razzia. Cela veut dire que mettre en avant des start-ups, sans penser #ETI n’a pas de sens.
Notre déficit d’#ETI est lourd face à l’Allemagne, notre voisin et compétiteur, c’est bien là que nous devons trouver de vraies solutions de financement. En tant que media, depuis 2009, la Web TV www.labourseetlavie.com s’est attachée à les mettre en avant, amenant ainsi de nouveaux internautes vers ce contenu. Comme cet investisseur basé à Maurice et qui suivant une entreprise, la société Gaussin, est venu voir, sur plusieurs années, trois interviews « stratégie », et a décidé d’investir directement, dans l’entreprise. C’est aussi, ce Pdg me confiant que son futur directeur général, lors de son entretien, lui avait indiqué qu’il avait vu l’interview stratégie diffusé sur la Web TV.
C’est donc bien une nouvelle forme de consommation d’un contenu de qualité. En 2015, plus de 2.000 vidéos sont donc disponibles, dont plus de 900 avec des dirigeants, c’est la plus grande base de données en vidéos d’#ETI françaises. C’est aussi en quelques jours, des internautes qui peuvent aller voir une vidéo pertinente, avec 1.000 vues pour une durée d’interview de 7 minutes !
« Content is King » est le leitmotiv de ce media ciblé, et toutes les #ETI même non cotés peuvent aussi s’y intéresser pour la veille, la stratégie et le networking…
Prochains objectifs de la Web Tv faire le lien entre ces jeunes pousses et les #ETI pour amener cet écosystème à conquérir le monde. Cela se fera de plusieurs manières, certaines seront bientôt détaillées, une chose est sûre : J’ai déjà accepté cette mission de parler des #ETI et de les faire connaître au monde entier.
Si vous êtes investisseur privé ou public, long terme, en France ou à l’international, fournisseur de services pour ces #ETI, n’hésitez-pas à venir m’en parler, les idées de manquent pas et ensemble, nous pourrons vaincre les blocages qui persistent.
En attendant, si vous ne connaissez pas encore cette base de données unique, c’est gratuit, alors une visite s’impose !